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Lamboley Executive Search est un cabinet de chasseur de têtes spécialisé dans le recrutement par approche directe à Luxembourg. Contactez-moi pour vos besoins en headhunting !
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Chasseur de têtes : en coulisse

Temps de lecture 2 minutes

Pour une entreprise, recourir à un chasseur de têtes marque une orientation forte dans la décision de recruter. A l’heure de la guerre des talents, quel est le rôle d’un cabinet de chasse de têtes ?

Trouver les points d’ancrage entre le candidat et l’entreprise

Chaque mission d’executive search est traitée dans son ensemble et dans la confidentialité. A l’instar d’un projet, il convient d’aborder l’ensemble des contours, du contexte au ciblage. Plusieurs raisons peuvent amener une entreprise à faire appel à mes services : le besoin de discrétion et/ou la nécessité de trouver des profils expérimentés ou atypiques, complexes à identifier sur les canaux habituels. C’est à ce moment que le chasseur de têtes active son réseau. En parallèle, il applique des techniques d’identification de candidats. En général, sa méthodologie consiste à chercher des talents qui ne s’inscrivent pas dans une démarche active, qui ne sont donc pas sur le marché et que les non-professionnels du métier ne connaissent généralement pas.

A l’inverse d’un recruteur, le professionnel de l’executive search évalue globalement l’entreprise et sa culture. A titre d’exemple, il n’envoie jamais de CV « à l’aveugle » à une société. Au contraire, il rencontre les individus. Cette étape est primordiale pour apprécier toute la dimension personnelle d’un professionnel. L’idée est de sentir si cette personne pourra s’adapter au contexte culturel de l’entreprise.

L’essence de son travail est de faire en sorte que les valeurs de l’entreprise entrent en résonance avec celles des candidats. Pour chaque mission, seuls deux ou trois personnes seront présentés à l’entreprise. C’est une démarche sélective qui permet de réduire le risque d’erreur de « casting ». Une fois le recrutement effectué, le chasseur de têtes intervient à des moments charnières tels que les premiers jours d’intégration, le bilan des trois mois, la fin de la période d’essai, etc. Si un autre chasseur sollicite l’employé placé, il est rare qu’il/elle réponde favorablement à son offre.

 

Entreprises et candidats : des attentes évolutives

Désormais, les candidats sont attentifs aux valeurs de l’entreprise. D’autres points émergent : la qualité et le sens des missions, les responsabilités et l’autonomie. L’ambiance de travail et la reconnaissance sont devenues des critères prédominants dans le choix d’un employeur.

Du côté des entreprises, la notion d’implication règne. Les qualités entrepreneuriales sont aussi très appréciées. De manière générale, un candidat autonome, innovant, qui affectionne le travail en équipe et qui n’hésite pas à sortir de sa zone de confort pour s’adapter à des environnements changeants possède des qualités fondamentales.

 

Lamboley Executive Search, une réelle expertise pour vos recrutements 

Mon parcours personnel est un des éléments forts de ma proposition de valeur. Avec plus de vingt années passées en ressources humaines au sein de cabinets d’audit et de conseil, je me suis constituée un réseau solide, une connaissance approfondie des postes, des profils et du marché.

L’idée est d’apporter à mes clients, grands groupes internationaux comme structures familiales, des éléments de benchmark issus de cette diversité. C’est en alliant la compréhension des enjeux économiques et la connaissance des entreprises et des talents que je me distingue. Enfin, chacune de mes missions porte mon nom. La différence tient à cette dimension.

 

Faites le choix de la stratégie pour vos recrutements, contactez-moi 

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Courage Managérial : Osez !

Temps de lecture 3 minutes
À force d’éluder la question du pouvoir et de l’autorité dans le management, le béni oui-ouisme fait des ravages. Or, être leader ne nécessite-t-il pas de s’affranchir d’un mouvement grégaire et de monter au créneau quand cela est nécessaire ? Pour investir le management, il faut du courage. Exprimons le courage managérial !

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Marque employeur : vie privée, vie publique

Temps de lecture 3 minutes

Véritable vitrine de votre culture d’entreprise, votre marque employeur est le faire-valoir de votre activité auprès de vos employés et de vos candidats potentiels. L’enjeu est double : ce qui se vit à l’intérieur résonne à l’extérieur. L’objectif est unique : proposer un discours réaliste. Analyse. 

La marque employeur, c’est l’image de marque de votre entreprise en tant qu’employeur. En d’autres termes, il s’agit de votre identité et de votre culture; de votre image et de votre réputation intra- et extra-muros; et de votre attractivité. Dans le meilleur des mondes, vous avez aligné l’ensemble de ces éléments dans un cadre cohérent dans le but de fédérer vos collaborateurs et vos nouveaux talents autour d’une approche commune.

 

L’employé : l’ambassadeur de votre marque employeur 

La marque employeur ne doit pas refléter ce que l’entreprise a déjà été, ce que vous aimeriez qu’elle soit ou ce qu’elle deviendra mais ce qu’elle est actuellement et ses ambitions. L’enjeu est donc de proposer un discours authentique, qui prendra corps dans l’expérience du collaborateur. Ainsi, la vie en entreprise doit correspondre au packaging vanté. II s’agit, d’une part, de favoriser l’engagement et la motivation de ses employés pour accroître les performances individuelles et collectives et, d’autre part, de fidéliser les talents en rendant l’entreprise attractive. Le soin apporté aux conditions de travail ou au style de management contribuent à améliorer la perception de vos collaborateurs envers votre marque.

Négliger la vie privée de votre entreprise, c’est prendre le risque de voir vos dysfonctionnements exposés sur la voie publique. En effet, les salariés mécontents de leurs conditions de travail ou de leur management sont les premiers à le faire savoir. En plus des discussions entre amis ou de réseau, les médias sociaux leur donnent une occasion de faire retentir leur message. Ces expériences négatives, partagées de manière virale, nuisent à la marque employeur. Certains sites à l’image de Glassdoor répertorient les avis de vos collaborateurs et des anciens. En l’occurence, la gestion des départs, volontaires ou non, est un élément à soigner. Il convient de poursuivre la relation avec son ancien collaborateur qui se fera l’écho de la vie intérieure de votre entreprise. Parole libérée oblige. Ce dernier peut aussi devenir un client.

Si la réputation d’une entreprise se forge depuis l’intérieur vers l’extérieur, les entreprises ont tout à gagner à soigner leur image auprès de leurs collaborateurs. Les témoignages positifs apportés par les employés eux-mêmes représentent une valeur ajoutée dans le discours de différenciation.

 

Le chasseur de têtes: le baromètre de votre marque employeur

Il arrive qu’une société développe une vision complètement décalée de la réalité, malgré de louables intentions. A l’échelle mondiale, seuls 19 % des employés perçoivent un parfait alignement entre le message véhiculé par leur entreprise au nom de la marque employeur et ce qu’ils vivent au quotidien, selon une étude du cabinet Weber Shandwick.

Le chasseur de têtes est souvent le témoin de ce malentendu. En sa qualité d’observateur et de sourceur, il est à l’avant-poste de ce qui se raconte sur un employeur sur le marché. Que dire lorsqu’un candidat remplit tous les critères mais arrête le processus pour mauvaise réputation, à tort ou à raison. Le hiatus est de taille. Le chasseur de têtes se place ainsi en baromètre de la marque employeur, assurant l’interface entre la croyance de son client (l’entreprise) et la perception du terrain (le candidat).

Son rôle est bien entendu d’en avertir la société qui pourra, en tout état de cause, rectifier le tir et s’interroger sur sa proposition de valeur.

 

Le candidat : le prospect de votre marque employeur

Recruter à la faveur d’une marque employeur positive est une réalité. En effet, les premiers réflexes d’un candidat en quête d’informations sera d’en parler à son réseau et de consulter les avis postés sur la toile à votre sujet. Rappelons-nous que si les feedbacks positifs n’atteignent pas toujours leur cible, les négatifs, eux, ne manqueront pas de se propager. Une mauvaise image sur le marché se concrétise par une pénurie de CVs… et non de talents.

Au même titre que nous sommes de plus en plus méfiants vis-à-vis du marketing de masse, les candidats sont de plus en plus critiques envers les marques employeurs « prêtes à consommer » et qui utilisent des mots clés : carrière, défis, environnement stimulant et missions diversifiées. Les candidats demandent de l’émotion, de la proximité, du lien et de la complicité. Quand une multinationale affiche des « carrières à long terme » alors que son turn-over est élevé, il y a malentendu. Une fois de plus, l’authenticité de votre marque employeur fait foi.

Enfin, l’époque où seuls les candidats devaient se montrer sous leur meilleur jour est révolue. Désormais, les recruteurs jouent un rôle de marketer en vendant l’entreprise. Un entretien d’embauche mal mené ou une absence de réponse peut vite entacher une marque employeur.

Si la marque employeur fidélise les hauts potentiels et concrétise les politiques de recrutement, elle est indissociable de la marque client. Indivisible, votre marque révèle aux yeux du monde entier votre code génétique.

Pour poursuivre notre réflexion, voici quelques liens:

Employee Rising : Seizing the Opportunity in Employee Activism, enquête menée par Weber Shandwick et KRC Research [infographie en anglais]

Aligning your consumer brand and your talent brand, étude réalisée par LinkedIn Talent Solution et Lippincott [PDF en anglais]

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