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Carrière : Osez bouger !

Temps de lecture 3 minutes

Des objectifs de carrière, nous en avons tous. Pourtant, on ne se donne pas toujours les moyens de les réaliser. La peur de l’inconnu pour certains, le confort de la routine pour d’autres conduisent à tirer les compétences vers le bas. Accueillir un nouveau défi exige, certes, de sortir de sa zone de confort mais c’est bien dans l’action que se trouve une planche de salut.

Faites-vous partie des individus préférant jouer la carte de la sécurité en exerçant les mêmes tâches chez le même employeur depuis des années ? Avez-vous peur de relever un nouveau défi ? Votre routine vous rassure-t-elle au point de faire le deuil de votre développement ? Quoi qu’il en soit, briser les murs de votre zone de confort et accepter de nouveaux challenges est bénéfique pour votre carrière et votre épanouissement personnel.

Sortir de sa zone de confort 

Voilà des années que vos lundis ont un goût amer. Vous vous dîtes que c’est une généralité que vous partagez avec certains de vos collègues. Au « Comment ça va ? », vous vous plaisez à répondre « Comme un lundi ! ». C’est, d’ailleurs, devenu un slogan hebdomadaire. Au fond, vous savez que quelque chose ne tourne pas rond. Cette petite voix intérieure vous rappelle très souvent que vous n’êtes plus que l’ombre de vous-même. Plus jeune, vous rêviez d’une autre carrière.
Aujourd’hui, vous êtes entré dans le cercle infernal des « vivement le week-end », des embouteillages et du coupe-file de la cantine (en réalité, vous descendez au self à 11h45 pour profiter du menu du jour, moment exaltant de votre journée de travail). Les semaines passent et se ressemblent. Vous vous êtes installé dans une routine bien confortable. Au fond, quelle est la finalité de votre travail ? Et vos compétences dans tout ça ?

Difficile de sortir de sa zone de confort surtout quand il s’agit de changer de poste ou d’entreprise. Evidemment, la peur est bien souvent le meilleur allié de l’immobilisme. La peur de l’inconnu, de se tromper ou simplement le manque d’introspection poussent à ne rien faire ou à se plaindre. C’est bien cette peur qui nous cristallise. Les annonces de crise et autres restrictions participent au choix de rester statique. Sauf que, la solution tombe rarement du ciel…

Pourtant, amorcer un changement est à la portée de tous. Selon les profils, cela peut vouloir dire : s’engager dans une formation continue, rencontrer d’autres professionnels, être porteur de projets, demander une mobilité interne ou rechercher activement une nouvelle opportunité. Dans ce cas, informez-en votre réseau et contactez un cabinet de chasse de têtes.

En quête de sens, à la découverte de son épanouissement professionnel

Le manque d’envie est souvent l’un des premiers signes qui prouve qu’il est temps de passer à autre chose. A force d’avoir fait le tour de votre poste et des missions qui vous sont confiées vous n’apprenez plus rien. C’est certainement le signe le plus alertant. De fait, vous procrastinez. Votre
motivation est en berne et vos phrases sont systématiquement ponctuées par des négations : « on n’y arrivera pas », « c’est impossible ». Une mobilisation peut passer par la quête de sens au travers d’un nouveau défi professionnel à relever.

Cette question de sens est plus que jamais d’actualité. Les cas de « bore-out » (ennui au travail) et  de « brown-out » (baisse de courant) se répandent comme une traînée de poudre en entreprise. En parallèle, les histoires de collaborateurs qui ont tout lâché pour poursuivre leurs rêves se multiplient : le trader qui a quitté son job pour devenir boulanger ; le consultant qui pose un an de congé sabbatique pour faire un documentaire sur les arbres et le comptable reconverti en prof de yoga. Sans aller dans ces extrêmes, le changement est entre vos mains. Il s’agit d’adopter une autre posture, de remettre en question votre confort, votre salaire et vos avantages au profit de votre épanouissement personnel et professionnel. C’est à cette condition que vous trouverez une nouvelle opportunité qui correspondra à vos attentes à instant T.

Le bonheur est dans le sens des missions

Vous avez fait le tour de votre poste. Vos perspectives d’évolution sont bouchées. Vous n’aimez plus vos missions. Vos valeurs ne correspondent plus à celles de votre entreprise. Vous voulez vous réorienter. Vous voulez être indépendant. Allez-y ! Sortez de votre zone de confort ! Osez franchir ce pas ! Faites-le pour votre carrière !

On vous dira, peut-être, que vous faites une erreur. Certains attendrons que vous échouiez, peut-être. On vous jugera, sans doute. Vous êtes votre meilleur baromètre. En cas de doute, rappelez-vous de vos lundis !

Aparté pour les entreprises engagées dans des politiques d’épanouissement au travail : la clé se trouve plus dans le sens des missions moins dans les baby-foot et autres mesures accessoires. Le bonheur n’est pas une condition de travail, mais une conséquence d’un travail qui permet de s’accomplir dans sa vie. Pensez-y également pour retenir vos talents et contactez-moi pour recruter les talents qui sont prêts à relever de nouveaux défis.

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La force de l’échec

Temps de lecture 3 minutes

Les success stories entrepreneuriales se multiplient au point de faire de leurs dirigeants nos nouveaux héros romantiques. Difficile dans cet environnement de vivre l’erreur. Or, une carrière professionnelle est rarement linéaire. Une ombre au tableau ne fait pas de vous un faussaire. Encore faut-il l’assumer pour en parler… surtout en entretien!

Sur le papier, tout le monde s’accorde à dire que l’erreur est humaine. Oui mais… A l’inverse de certains pays, notamment le Canada et la Suède, nous avons, en Europe, un rapport à l’erreur négatif. Dans un environnement social et professionnel qui condamne l’erreur et l’échec, pas étonnant de voir en entretien des candidats mal à l’aise sur la question tant le sujet est tabou. Faut-il, pour autant, maquiller ou masquer ses faux-pas ? La réponse est clairement non!

Faire une erreur ne signifie pas être une erreur

Faire l’amalgame entre faire une erreur et être une erreur revient finalement à croire que l’individu n’a aucune valeur. Or, certains font, à tort, ce mélange qui les conduit à avoir des réactions ou des jugements négatifs : masquer l’échec par honte, rejeter la faute sur les autres ou attribuer l’échec à un événement extérieur. Pour s’en détacher, ne faudrait-il pas nous rappeler de nos premiers pas ? Combien de chutes avons-nous essuyer, enfant, avant de marcher ? de faire du vélo ? Combien de mots avons-nous écorchés avant de parler ? d’écrire ? de lire ?

Accepter l’erreur comme un apprentissage est source d’enseignements. Encore faut-il 

en assumer les pleines responsabilités. Pas facile dans des systèmes qui nous infantilisent et culpabilisent. Trop souvent les responsables d’équipe endossent un rôle parental, prescripteur de bienséance et contrôleur de conduite. Dès lors, comment s’engager dans une dynamique positive face à l’échec ?

D’autre part, il convient de dissocier la notion d’erreur de celle de faute. Commettre une erreur signifie se tromper. Pour qu’une erreur en soit une, il faut que l’instruction ne soit pas respectée. Pas de bras, pas de chocolat, en somme. L’erreur n’est donc pas la conséquence d’une intention mais bien le résultat d’un manque d’attention ou d’une lacune. 

En opposition, la faute est, quant à elle, un manquement aux prescriptions, une transgression consciente et volontaire du cadre et des règles énoncés. D’ailleurs, la faute est soumise légalement à la répression. 

Echec avoué et assumé est pardonné en entretien

Rares sont les individus aux parcours lisses et sans embuches. Nous pouvons tous connaître des heures de gloire, traverser des déserts ou être mis au placard. Qu’on se le dise, l’échec est humain et on vous le pardonnera à condition de l’assumer et de l’expliquer.

En entretien, maquiller ou masquer la réalité revient à mentir. Or, tout échec a une explication. A titre d’exemple, un changement de direction de l’entreprise a rendu votre poste redondant ; un rôle qui ne correspond pas à vos attentes ou une inadéquation de vos valeurs avec celles de l’entreprise. Ce qui importe est de pouvoir expliquer l’échec et d’en tirer des enseignements. 

L’échec ne condamne pas à l’échec. Il s’agit, en fait, d’une étape à l’intérieur d’un parcours et porteuse d’enseignements. Un bon recruteur valorisera votre plan d’action face à l’échec. Expliquez ouvertement les raisons de votre licenciement par exemple. Montrez au recruteur que vous vous êtes remis en question et avez pris les actions nécessaires. Aux yeux du recruteur, vous serez un candidat conscient de ses faiblesses mais surtout de ses forces, capable de rebondir. 

Chaque métier comprend trois piliers : le « business development », la gestion d’équipe et les compétences techniques. Or, rares sont ceux qui excellent dans tous les domaines. Pour éviter tout échec, soyez franc avec le recruteur et expliquez votre niveau dans chacune des trois compétences. 

Enfin, l’échec n’en est pas toujours un. Dans la plupart des cas, il s’agit d’un mal pour un bien. Sans lui, auriez-vous fait la démarche de vous former ? de vous remettre en question ? de développer de nouvelles compétences ? Plus important, de vous connaître et in fine être capable de parler librement de vos forces et de vos faiblesses face à un recruteur sans ressentir ni culpabilité ni honte.

Ce qui ne tue pas rend plus fort. Au fond, l’échec permet d’adopter une autre vision et d’en apprendre un peu plus sur soi. Exactement ce qu’un recruteur attend d’un candidat.

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